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    La perte de mémoire est un phénomène complexe pouvant être dû à des causes diverses telles que le vieillissement, des troubles neurologiques ou le stress. Elle affecte non seulement l’individu, mais aussi son entourage. Les troubles de la mémoire sont parfois réversibles et peuvent disparaître avec un bon traitement. En cas de maladie neurodégénérative, des stratégies d’adaptation doivent être apprises pour garder une bonne qualité de vie.

    Qu’est-ce qu’une perte de mémoire ? 

    La perte de mémoire est un symptôme se manifestant par des difficultés à se souvenir d’informations ou d’événements. Elle varie en intensité, selon ses causes, d’une légère difficulté à se rappeler un nom à une incapacité à se remémorer des événements importants de sa propre vie. 

    En outre, la perte de mémoire peut être un état :

    • temporaire, déclenché par des facteurs tels que le stress ou la fatigue, 
    • permanent, souvent lié à des conditions médicales plus sérieuses.

    En général, la perte de mémoire est le symptôme d’autres conditions médicales plutôt qu’une maladie en soi. 

    Le trouble de mémoire pathologique se distingue des oublis mineurs qui surviennent naturellement avec l’âge. Il est normal de constater une certaine lenteur dans le processus de la mémoire, avec le vieillissement. Prendre plus de temps pour se rappeler des noms, des dates ou des détails d’événements passés n’indique pas nécessairement un problème médical. Ces légers ralentissements sont souvent le résultat de changements naturels dans le cerveau. Ils ne doivent pas être confondus avec des symptômes de démence ou d’autres troubles cognitifs graves.

    Cependant, si les difficultés de mémoire commencent à interférer de manière significative avec la vie quotidienne, il est important de consulter un médecin. Discerner les signes normaux du vieillissement de ceux indiquant des problèmes de mémoire plus sérieux est crucial pour maintenir une qualité de vie optimale.

    La mémoire et son fonctionnement

    Le terme « mémoire » englobe diverses fonctions étroitement liées, dépendant de l’activité harmonieuse de multiples régions cérébrales. Lorsque ces dernières ne fonctionnent pas correctement, une perte de mémoire peut survenir.

    1. Un processus complexe
    La mémoire n’est pas une entité unique, mais un processus dynamique impliquant plusieurs étapes :

    • Encodage : c’est la première étape, pendant laquelle les informations prennent une forme que le cerveau peut stocker. L’encodage peut être affecté par l’attention, les émotions, et l’environnement.
    • Stockage : les informations encodées sont ensuite stockées dans le cerveau. Ce stockage peut être à court terme (mémoire de travail) ou à long terme.
    • Récupération : c’est l’acte de se souvenir ou d’accéder à l’information stockée. La récupération peut être influencée par divers facteurs, y compris le contexte et les indices mnémoniques.

    2. Types de mémoires
    Il existe différents types de mémoires, chacun jouant un rôle unique :

    • Mémoire sensorielle : très éphémère, elle traite les informations sensorielles de l’environnement.
    • Mémoire à court terme (ou mémoire de travail) : elle retient temporairement et manipule l’information nécessaire pour des tâches cognitives complexes, comme l’apprentissage, la compréhension, et le raisonnement.
    • Mémoire à long terme : elle correspond au stockage prolongé des informations. Elle se divise en :
      • mémoire explicite (consciente), incluant la mémoire épisodique (événements spécifiques), 
      • mémoire sémantique (faits et connaissances), 
      • mémoire implicite (inconsciente), comme la mémoire procédurale (habiletés et tâches).

    3. Fonctionnement cérébral
    La mémoire implique l’interaction de diverses zones du cerveau :

    • Hippocampe : joue un rôle crucial dans la formation de nouveaux souvenirs et dans la mémoire spatiale.
    • Lobes Frontaux : importants pour la mémoire de travail et la récupération des souvenirs.
    • Amygdale : impliquée dans le traitement émotionnel des souvenirs.
    • Cortex cérébral : intervient dans le stockage de la mémoire à long terme, en particulier dans les domaines du langage et de la perception.

    Chaque type de mémoire et chaque zone du cerveau jouent un rôle spécifique dans la façon dont nous enregistrons, stockons et récupérons les informations. 

    Infographie sur la perte de mémoire et ses mécanismes dans le cerveau, ses causes de ces troubles mnésiques et cognitifs et les types d'amnésie

    Quels sont les différents types de perte de mémoire ? 

    La perte de mémoire peut se manifester sous différentes formes, chacune ayant ses particularités :

    Le trou de mémoire

    Il s’agit d’oublis mineurs et courants dans la vie quotidienne. Exemples : ne plus se souvenir où l’on a posé ses clés ou le nom d’une connaissance récente.

    Ces oublis sont généralement normaux et ne traduisent pas nécessairement un problème de santé sous-jacent. Ils peuvent être dus à des distractions, au stress ou à un surmenage.

    La perte de mémoire soudaine (amnésie)

    La perte de mémoire soudaine se caractérise par une incapacité subite à se souvenir d’informations ou à former de nouveaux souvenirs. Elle est souvent désignée sous le terme d’amnésie. Ses deux formes principales sont les suivantes :

    • Amnésie rétrograde – lorsque les souvenirs oubliés sont antérieurs à l’événement déclencheur,
    • Amnésie antérograde – lorsque les faits oubliés sont des événements récents que la personne ne parvient pas à enregistrer au fur et à mesure qu’ils se produisent.

    En outre, elle peut être classée en deux catégories principales, selon la durée du trouble :

    • Amnésie temporaire (transitoire) : ce type de perte de mémoire soudaine est souvent de courte durée. Les souvenirs peuvent revenir graduellement. Un exemple courant est l’amnésie globale transitoire (ictus amnésique). Ce problème soudain, mais temporaire de la mémoire est généralement sans cause identifiée et se résorbe de lui-même.
    • Amnésie permanente : elle peut résulter de dommages plus graves au cerveau, causés notamment par des traumatismes crâniens sévères… Dans ce cas, la capacité à mémoriser ou à retrouver les souvenirs est affectée de manière permanente.
    LIRE AUSSI:  La sénilité : définition, premiers signes et accompagnement

    La perte de mémoire progressive

    Cette forme de perte de mémoire se développe lentement sur une période prolongée. Elle est souvent associée à des conditions neurologiques dégénératives telles que la maladie d’Alzheimer ou d’autres formes de démence.

    Elle se traduit par des difficultés croissantes à se souvenir d’événements récents. En outre, elle est accompagnée de symptômes cognitifs et de changements dans le jugement ou le comportement.

    Quels sont les symptômes de la perte de mémoire ? 

    La perte de mémoire peut se manifester de diverses manières, allant de symptômes légers et souvent bénins à des signes plus préoccupants pouvant nécessiter une évaluation médicale. 

    Exemples de symptômes courants 

    • Oubli de dates ou d’événements récents : ne pas se souvenir de conversations récentes ou d’événements importants.
    • Répétitions fréquentes : raconter la même histoire plusieurs fois ou poser les mêmes questions.
    • Égarer des objets : placer des objets dans des endroits inhabituels et avoir des difficultés à les retrouver.
    • Oublier des rendez-vous ou des événements sociaux : ne pas se souvenir d’un déjeuner à venir ou d’une réunion.
    • Négliger de payer les factures ou d’assumer d’autres responsabilités.

    Quand consulter un médecin ?

    Si ces symptômes sont accompagnés des signes suivants, il est conseillé de consulter un médecin :

    • Désorientation temporelle ou spatiale : ne pas savoir quel jour on est, se perdre dans des lieux familiers.
    • Difficultés avec les tâches familières : avoir du mal à réaliser des activités quotidiennes, comme s’habiller ou utiliser des appareils ménagers.
    • Problèmes de langage : avoir régulièrement du mal à trouver les mots appropriés (aphasie) ou à suivre une conversation.
    • Diminution du jugement : prendre de mauvaises décisions en matière de finances ou de soins personnels.
    • Difficultés à suivre des instructions ou des plans : avoir du mal à suivre une recette ou à gérer les finances personnelles, par exemple.
    • Retrait social : se retirer des activités sociales ou professionnelles.
    • Altérations de la personnalité : changements significatifs dans la personnalité, comme devenir méfiant, dépressif, craintif ou anxieux.

    Ces symptômes, surtout lorsqu’ils sont nouveaux ou s’aggravent progressivement, peuvent être le signe de troubles sous-jacents nécessitant une attention médicale. La démence, par exemple, se traduit souvent par une combinaison de ces symptômes, affectant significativement les capacités cognitives et la qualité de vie. Un diagnostic précoce est crucial pour gérer efficacement ces conditions et planifier les soins appropriés.

    Quand la perte de mémoire est-elle un signal d’alarme à prendre au sérieux ?

    Une perte de mémoire soudaine accompagnée de confusion peut être le signe d’une maladie nécessitant une intervention immédiate, notamment un AVC. Soigné rapidement, celui-ci peut ne pas laisser de séquelles. Il faut donc savoir le reconnaître. Outre la confusion et le trouble de mémoire, un seul des signes suivants suffit pour justifier d’appeler le 15 ou le 112 :

    • Engourdissement du visage : sourire de travers, lèvre tombante d’un côté,
    • Paralysie ou faiblesse d’un membre,
    • Difficulté à parler, à répéter une phrase.

    Autres symptômes : perte d’équilibre, vision altérée, fort mal de tête, altération de la conscience. 

    Pour en savoir plus : Face à une perte de mémoire, quand s’inquiéter ? 

    Quelles sont les causes de la perte de mémoire ? 

    La perte de mémoire peut avoir des causes très variées.

    Les causes de la perte de mémoire progressive 

    Les pertes de mémoire peuvent évoluer au fil du temps en raison de perturbations de l’activité cérébrale. Dans les maladies dégénératives, plus les zones du cerveau affectées se détériorent, plus les troubles de la mémoire s’accentuent. 

    Les causes principales sont les suivantes : 

    • Maladies neurodégénératives  : 
      • maladie d’Alzheimer, caractérisée par la formation de plaques amyloïdes et de dégénérescence neurofibrillaire. C’est la plus courante.
      • Détérioration cognitive légère (ou déficit cognitif modéré), 
      • Démence à corps de Lewy, 
      • Maladie de Parkinson, 
      • Maladie d’Huntington, 
      • Hydrocéphalie à pression normale, 
      • Aphasie progressive primaire…
    • Démence vasculaire, résultant de l’obstruction ou de la rupture de vaisseaux sanguins dans le cerveau. Elle intervient souvent après un ou plusieurs AVC. 
    • Vieillissement : avec l’âge, certains changements cérébraux peuvent affecter la mémoire, mais ces effets varient considérablement d’une personne à l’autre.
    • Tumeurs cérébrales.

    Les causes de la perte de mémoire soudaine 

    L’amnésie est généralement causée par une maladie ou un événement endommageant le cerveau ou affectant son fonctionnement.

    1. Atteinte du cerveau 

    • Traumatismes crâniens, susceptibles de causer des dommages permanents au cerveau. 
    • Accident vasculaire cérébral (AVC), pouvant interrompre l’apport sanguin et endommager les tissus cérébraux.
    • Opérations du cerveau et interventions chirurgicales : notamment une ablation d’une zone du cerveau pour le traitement de l’épilepsie. 

    2. Facteurs psychologiques ou mentaux

    • Stress et anxiété : ces états surchargent le cerveau, rendant difficiles la concentration et l’enregistrement de nouvelles informations.
    • Dépression : elle peut affecter la capacité à se concentrer et à se souvenir, rendant les souvenirs moins accessibles ou moins clairs.
    • Psychoses et troubles de l’humeur.

    2. Consommation de substances 

    • Alcoolisme : il affecte la mémorisation. L’abus d’alcool à long terme peut conduire au syndrome de Korsakoff, une condition chronique, caractérisée par des lacunes importantes de la mémoire.
    • Usage de drogues : certaines drogues, en particulier celles qui affectent le système nerveux central, peuvent altérer la mémoire à court et à long terme.

    3. Carence nutritionnelle 

    • Vitamine B12 : elle est essentielle pour la santé neuronale. Sa carence peut causer une confusion et une diminution de la fonction cognitive.
    • Autres carences nutritionnelles : d’autres vitamines et minéraux sont cruciaux pour le fonctionnement cérébral optimal. Leur manque peut affecter la mémoire et d’autres fonctions cognitives.
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    4. Problème de santé et maladie causant une perte de mémoire 

    • Troubles de la thyroïde : l’hypothyroïdie peut affecter la mémoire. Un traitement adapté restaure souvent la fonction cognitive.
    • Infections : certaines infections cérébrales, comme l’encéphalite, peuvent causer des dommages permanents ou temporaires à la mémoire.
    • Épilepsie : la crise d’épilepsie entraîne une amnésie transitoire.
    • Fatigue chronique : impacte négativement la concentration et la capacité à mémoriser.
    • Syndrome confusionnel : causé par une maladie, une hospitalisation et tout événement causant une tension inhabituelle sur le corps ou l’esprit.
    • Migraine.

    5. Effets secondaires de médicaments 

    • Sédatifs (pour les anesthésies), somnifères et tranquillisants : influent sur la capacité du cerveau à former de nouveaux souvenirs.
    • Antidépresseurs, anxiolytiques (benzodiazépines) et antihistaminiques : ils affectent parfois la mémoire et la clarté mentale.
    • Antalgiques opioïdes.

    6. Manque de sommeil 

    • Troubles du sommeil : le sommeil est crucial pour consolider les souvenirs.
    • Syndrome d’apnées du sommeil.

    7. Produits toxiques

    • Exposition à des toxines : certaines toxines, comme le plomb ou d’autres métaux lourds, peuvent endommager le cerveau.
    • Intoxication au monoxyde de carbone, lors d’un incendie. 

    Comment est diagnostiquée la perte de mémoire ?

    Si vous constatez des pertes de mémoire anormales, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant. Il vous orientera probablement vers un spécialiste (neurologue, orthophoniste) pour compléter le diagnostic de ces troubles.

    Entretien et historique médical

    Le diagnostic commence généralement par une évaluation médicale complète. Au cours de l’entretien avec le patient, le médecin retrace l’historique médical détaillé et pose des questions sur :

    • les symptômes, 
    • leur durée, 
    • tout changement dans le comportement ou les capacités cognitives. 

    Le médecin peut également interroger des membres de la famille ou des proches pour obtenir une perspective plus complète.

    Évaluation de la perte de mémoire et tests cognitifs 

    Des examens cognitifs (souvent sous forme de questions-réponses) sont réalisés pour évaluer :

    • la mémoire, 
    • les capacités de résolution de problèmes, 
    • les compétences linguistiques, diverses fonctions cognitives. 

    Lorsqu’un neurologue suspecte la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée, il peut orienter le patient vers une consultation mémoire. Il en existe partout en France. Elles sont spécialisées dans le diagnostic de la démence. 

    Identification de la cause ou maladie sous-jacente à la perte de mémoire

    Le diagnostic vise à identifier toute condition médicale sous-jacente pouvant contribuer à la perte de mémoire

    Des examens physiques, notamment des analyses sanguines, peuvent être effectués pour rechercher des causes potentielles. 

    En outre, des tests d’imagerie du cerveau, comme l’IRM ou le scanner cérébral, peuvent être utilisés pour rechercher des anomalies structurelles ou des maladies neurologiques.

    Homme âgé consultant un calendrier et se tenant la tête à cause d'une perte de mémoire

    Quel traitement pour la perte de mémoire ? 

    Le traitement de la perte de mémoire dépend de ses causes. Lorsque celles-ci peuvent être éliminées, le patient retrouve souvent de meilleures fonctions cognitives. Parfois, le trouble de mémoire est irréversible, mais il est possible d’apprendre des stratégies pour garder une bonne qualité de vie. 

    Plans de traitement

    Une fois la cause identifiée, un plan de traitement personnalisé est élaboré. Les soins proposés sont généralement les suivants :

    • Traitements médicamenteux : il existe aujourd’hui de nouveaux médicaments contre les maladies neurodégénératives, susceptibles d’aider à ralentir la progression des symptômes.
    • Thérapies cognitives ou comportementales : elles peuvent être bénéfiques pour améliorer les fonctions cognitives et gérer les symptômes.
    • Modifications du mode de vie : des changements dans l’alimentation, l’exercice physique et les habitudes de sommeil peuvent améliorer la santé cognitive globale.
    • Soutien et éducation : fournir un soutien et une éducation aux patients et à leurs familles est crucial pour gérer la perte de mémoire. Un ergothérapeute et un orthophoniste, par exemple, peuvent enseigner des stratégies pour effectuer des actes essentiels malgré une mémoire défaillante.

    Suivi et réévaluation

    Le suivi régulier est important pour surveiller l’évolution des symptômes et ajuster le traitement si nécessaire. La réévaluation périodique permet de s’assurer que les besoins du patient sont toujours bien pris en charge.

    Comment faire face à la perte de mémoire ?

    Voici quelques idées pour surmonter les problèmes de mémoire et parfois les prévenir :

    • Adaptez-vous : utilisez des calendriers, des planificateurs, des blocs-notes, des applications mobiles ou tout autre outil efficace pour vous rappeler les choses importantes. Contrairement à une idée reçue, l’utilisation de tels outils ne diminue pas la mémoire. Au contraire, elle la stimule.
    • Restez engagé dans la vie sociale : passer du temps en société peut aider à prévenir le déclin de la mémoire. La vie sociale maintient de nombreuses zones du cerveau actives et vous permet d’utiliser des compétences et des capacités importantes.
    • Demeurez actif : l’activité physique est bonne pour le cerveau. Votre médecin peut vous conseiller des exercices adaptés à votre situation.
    • Nourrissez votre curiosité : essayez de continuer à apprendre de nouvelles choses. Stimulez votre cerveau grâce à des passe-temps, des travaux manuels, des puzzles ou des jeux. Ces activités peuvent aider à retarder la perte de mémoire.

    Quelle différence entre les pertes de mémoire liées à l’âge et à la maladie d’Alzheimer ?

    Qui ne redoute pas d’être atteint de la maladie d’Alzheimer lorsque les oublis se multiplient ? On a tendance à considérer la perte de mémoire comme le premier et principal symptôme de la maladie d’Alzheimer. Mais toutes les personnes âgées rencontrant des difficultés à se remémorer certaines informations ne sont pas atteintes de démence. 

    Perte de mémoire : différences entre vieillissement normal et maladie d’Alzheimer
    Vieillissement normal
    Maladie d’Alzheimer
    Prendre de mauvaises décisions de temps en temps
    Faire preuve d’un jugement amoindri et prendre fréquemment de mauvaises décisions 
    Rater un paiement mensuel 
    Rencontrer des difficultés à s’occuper de ses factures tous les mois
    Oublier quel jour on est et s’en souvenir peu après
    Perdre la notion du temps et ne plus connaître la date ou la saison de l’année
    Avoir du mal à trouver le mot juste de temps à autre
    Ne plus savoir exprimer sa pensée de manière cohérente
    Perdre des objets, surtout par manque d’attention — En retournant sur ses pas, on retrouve souvent l’objet égaré
    Ranger un objet à un endroit inhabituel et ne plus pouvoir le retrouver, même en retournant sur nos pas

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    Avatar auteur, Yaël A.
    Yaël A.,Rédactrice chez Cap Retraite

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